Les aides artificielles du cavalier
Elles servent à renforcer
les aides naturellesEN AUCUN CAS ELLES SE NE SUBSTITUENT A ELLES.
- les éperons
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- les cravaches (petite, moyenne ou longue appelée stick de dressage)
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L'éperon et la cravache servent à renforcer l’action de la jambe. Les éperons ne sont pas à utiliser tous les jours car le cheval s’y habitue et devient à la longue froid à la jambe.
- la chambrière qui est surtout utilisée pour le travail à la longe pour l’impulsion et repousser le cheval sur le cercle. Elle est aussi utilisée en liberté pour les changements de main (changement de sens).
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- les enrênements qui sont des moyens dont disposent « les cavaliers fainéants » pour muscler leurs chevaux.
Voici un cheval SANS enrênement.
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Beaucoup de ces enrênements servent à leur faire baisser la tête et donc faire travailler le dos. Ces derniers, s’ils sont mal utilisés (c'est-à-dire que le cheval ne s’engage pas), d’une part ne servent à rien et d’autre part le cheval pour fuir s’appuie sur le mors.
Les plus courants sont :
- les rênes allemandes :
Le cavalier se retrouve en quatre rênes, celles-ci passent dans les anneaux du mors de l'extérieur vers l'intérieur et se fixent à la sangle entre les antérieurs mais peuvent aussi s'attacher sur le côté.
rênesallemandes2.jpg
- le gogue
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- les élastiques
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- la martingale qui peut être fixe ou passer dans les rênes (dans ce cas ne pas oublier les arrêtoirs).
martingale3.jpg
martingale fixe.jpg
Je rappelle qu'on n'ajuste pas son enrênement tant que le cheval n'est pas échauffé.
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