En fait Baguera ce n'est pas le matériel qui augmente mais les activités équestres : l'élevage, la vente de chevaux de course et de sport, l'hébergement et peut-être (si l'Etat ne trouve pas de parade) les activités des clubs. Le secteur était jusqu'à présent protégé par la France malgré plusieurs mises en garde de la Commission européenne. Elle reproche aux activités équestres de profiter d'un taux de TVA réduit (7%), considérant que le cheval
Cela risque de fragiliser la filière (6 000 emplois directs) et de redéfinir la pratique de l'équitation qui s'est démocratisée (3ème fédération en terme de licenciés)
Et oui Angelk les entreprises ou exploitations agricoles vont la répercuter sur les prix ...à moins qu'elles ne rognent sur la masse salariale...Cette nouvelle disposition devait entrer en vigueur au 1er janvier 2013 mais pour l'instant le taux réduit est toujours appliqué. Le ministère de l'Agriculture travaille sur un projet pour contourner la décision de la Cour de justice de l'Union européenne sans payer d'amende.
D'ailleurs pour en savoir plus :
http://www.la-campagne-des-insurges.fr/?Le-point-sur-le-mouvementPour en revenir au sujet de départ, je pense que le climat économique n'est vraiment pas favorable à une responsabilisation partagée entre vendeurs et acheteurs. Au milieu de tout ça, ce sont les chevaux qui risquent d'en pâtir. Bien sûr, le mieux serait que les futurs proprio soient encadrés et se documentent un minima avant de s'engager, car avec un cheval l'engagement se fait sur le long terme.
Mais en ces temps difficiles, business is business
