La territorialité chez nos lapins de compagnie (causes et explications)
Posté : 17 Nov 2012, 01:31
La territorialité chez nos lapins de compagnie (causes et explications)
Les lapins ont un comportement naturellement territorial. Par conséquent, l'arrivée d'un congénère sur leur domaine réservé n'est pas toujours très bien accueillie, d'autant plus qu'elle doit répondre à certaines règles hiérarchiques.
Dans la nature, ils vont jusqu'à uriner, déposer des crottes ou des boulettes de marquage pour indiquer de façon claire les limites de leur espace. Si d'aventure, un intrus les outrepasse, il se voit aussitôt pourchassé ou attaqué. Le propriétaire à grandes oreilles va lors lui courir après, tourner en rond rapidement, creuser, et se livrer à de violents affrontements.
Les mâles vivant à l'état sauvage s'octroient un territoire étendu, tandis que celui des femelles est plus restreint. Cela s'explique par la priorité que ces dernières font de leur nid. De ce fait, il leur est difficile de défendre un vaste domaine. Ainsi, les mâles vont tenter d'empêcher les congénères du même sexe de mettre les pattes chez eux, car ils constituent une menace directe en ce qui concerne leurs chances de trouver une partenaire et perpétuer leur espèce.
Pour limiter la territorialité, que l'animal soit stérilisé, castré ou pas, il faut donc recourir à l'usage d'un terrain neutre, pour faire de cette particularité un atout. C'est pourquoi, lorsqu'un nouveau congénère est introduit, plus l'espace réservé aux premières rencontres est différent de celui d'origine, plus les présentations ont de chances d'être exemptes de stress et pacifiques.
En résumé, la notion de territoire étant profondément ancrée dans les gènes de nos amis à grandes oreilles et leurs ancêtres, mieux vaut en connaître les règles et manifestations afin de mieux comprendre leurs réactions à l'égard de leurs maîtres ou de leurs congénères.
Source : http://www.rabbit.org/
Les lapins ont un comportement naturellement territorial. Par conséquent, l'arrivée d'un congénère sur leur domaine réservé n'est pas toujours très bien accueillie, d'autant plus qu'elle doit répondre à certaines règles hiérarchiques.
Dans la nature, ils vont jusqu'à uriner, déposer des crottes ou des boulettes de marquage pour indiquer de façon claire les limites de leur espace. Si d'aventure, un intrus les outrepasse, il se voit aussitôt pourchassé ou attaqué. Le propriétaire à grandes oreilles va lors lui courir après, tourner en rond rapidement, creuser, et se livrer à de violents affrontements.
Les mâles vivant à l'état sauvage s'octroient un territoire étendu, tandis que celui des femelles est plus restreint. Cela s'explique par la priorité que ces dernières font de leur nid. De ce fait, il leur est difficile de défendre un vaste domaine. Ainsi, les mâles vont tenter d'empêcher les congénères du même sexe de mettre les pattes chez eux, car ils constituent une menace directe en ce qui concerne leurs chances de trouver une partenaire et perpétuer leur espèce.
Pour limiter la territorialité, que l'animal soit stérilisé, castré ou pas, il faut donc recourir à l'usage d'un terrain neutre, pour faire de cette particularité un atout. C'est pourquoi, lorsqu'un nouveau congénère est introduit, plus l'espace réservé aux premières rencontres est différent de celui d'origine, plus les présentations ont de chances d'être exemptes de stress et pacifiques.
En résumé, la notion de territoire étant profondément ancrée dans les gènes de nos amis à grandes oreilles et leurs ancêtres, mieux vaut en connaître les règles et manifestations afin de mieux comprendre leurs réactions à l'égard de leurs maîtres ou de leurs congénères.
Source : http://www.rabbit.org/