Santé : les chercheurs du zoo d'Auckland, en Nouvelle Zélande, aux prises avec la PBFD
Posté : 17 Juin 2012, 22:15
Les chercheurs du zoo d'Auckland, en Nouvelle Zélande, aux prises avec la PBFD
Les chercheurs du zoo d'Auckland font actuellement face à un virus qui touche les perroquets indigènes et tend à se répandre à travers la Nouvelle Zélande.
En 2008, la PBFD, ou maladie du bec et des plumes, avait été diagnostiquée chez des Kakarikis. Mais cette année, elle vient de l'être pour la première fois sur une île située plus au sud. En janvier 2012, dans le Fiordland, une seconde variété de Kakariki a été testée positive à ce mal, la perruche de Nouvelle Zélande.
Pour tenter de déterminer l'ampleur de la propagation du virus et la façon dont il se manifeste, de nouveaux test ont été entrepris sur Tiritiri Matangi Island, dans le golfe d'Hauraki.
Selon les scientifiques, le risque de contagion est grand pour les autres espèces. Ils craignent un risque majeur notamment pour le Nestor Kea, le kaka, mais aussi le Kakapo, déjà menacé d'extinction. Les Kakapos ne semblent pas encore affectés par la PBFD, étant donné qu'aucun n'a été diagnostiqué positif jusqu'alors sur les terres de Nouvelle zélande. Mais Béthanie Jackson, vétérinaire au zoo d'Auckland, précise que cela n'a rien d'étonnant, dans la mesure où les symptômes varient d'une expèce à l'autre et en fonction de l'âge du sujet touché. Ainsi certains psittacidés peuvent perdre des plumes ou mourir dans de très brefs délais, tandis que d'autres parviennent à se rétablir complètement.
Cependant, les spécialistes du zoo d'Auckland se sont engagés dans une course contre la montre, pour tenter de comprendre le phénomène qui touche les perroquets indigènes, d'une part, et tenter de les sauver. Nous ne pouvons qu'espérer que leurs efforts soient fructueux, car il en va de la survie d'espèces en sursis.
Source : http://www.radionz.co.nz/
Les chercheurs du zoo d'Auckland font actuellement face à un virus qui touche les perroquets indigènes et tend à se répandre à travers la Nouvelle Zélande.
En 2008, la PBFD, ou maladie du bec et des plumes, avait été diagnostiquée chez des Kakarikis. Mais cette année, elle vient de l'être pour la première fois sur une île située plus au sud. En janvier 2012, dans le Fiordland, une seconde variété de Kakariki a été testée positive à ce mal, la perruche de Nouvelle Zélande.
Pour tenter de déterminer l'ampleur de la propagation du virus et la façon dont il se manifeste, de nouveaux test ont été entrepris sur Tiritiri Matangi Island, dans le golfe d'Hauraki.
Selon les scientifiques, le risque de contagion est grand pour les autres espèces. Ils craignent un risque majeur notamment pour le Nestor Kea, le kaka, mais aussi le Kakapo, déjà menacé d'extinction. Les Kakapos ne semblent pas encore affectés par la PBFD, étant donné qu'aucun n'a été diagnostiqué positif jusqu'alors sur les terres de Nouvelle zélande. Mais Béthanie Jackson, vétérinaire au zoo d'Auckland, précise que cela n'a rien d'étonnant, dans la mesure où les symptômes varient d'une expèce à l'autre et en fonction de l'âge du sujet touché. Ainsi certains psittacidés peuvent perdre des plumes ou mourir dans de très brefs délais, tandis que d'autres parviennent à se rétablir complètement.
Cependant, les spécialistes du zoo d'Auckland se sont engagés dans une course contre la montre, pour tenter de comprendre le phénomène qui touche les perroquets indigènes, d'une part, et tenter de les sauver. Nous ne pouvons qu'espérer que leurs efforts soient fructueux, car il en va de la survie d'espèces en sursis.
Source : http://www.radionz.co.nz/