En ce qui concerne les punitions, il ne faut pas en user de la sorte. Seules deux méthodes devraient être employées, nous en avons parlé
ICI. Aussi concernant ici les coussins agités, pour reprendre ton exemple, l'approche n'est-elle pas appropriée. Même si l'humain de référence est mieux toléré dans ses agissements, utiliser la peur de l'oiseau à quelque fin que ce soit nous fait percevoir comme des prédateurs, car dans son monde, seul un prédateur les effraie. A terme, cela a un effet négatif sur la confiance et la relation entre le maître et son compagnon.
Le seul contexte dans lequel l'appréhension du perroquet envers un objet peut être utilisée sans poser de problème en ce sens est de placer préalablement cet objet là où l'on ne veut pas qu'il se pose.
La nuance est mince, je te l'accorde, mais pour nos oiseaux elle prend tout son sens, car ils ne fonctionnent pas comme nous, notamment parce-qu'ils n'ont pas d hiérarchie entre eux. L'éducation est notre atout majeur, pour interrompre les mauvais comportements, mais il est vrai qu'il faut parfois ruser.