Séminaire de Johanne Vaillancourt : comprendre les comportements naturels des perroquets
Posté : 04 Juin 2011, 09:22
Séminaire de Johanne Vaillancourt : comprendre les comportements naturels des perroquets
Chaque espèce réagit différemment à la vue d'un prédateur. Une perruche sera plus réactive qu'un Ara à la vue d'un chat par exemple.
Les gris sont plus difficiles à socialiser. La majorité des perroquets sont monogames et unis à vie. Ce n'est pas le cas des Eclectus en dehors des périodes de reproduction. Au contraire, un Cacatoès corrodera son maitre toute l'année pour entretenir les liens.
Certaines espèces se relaient au nid, d'autres pas. La femelle Cacatoès attendra donc que l'humain mette les mains sur ses oeufs pour quitter le nid et aller se nourrir. Chez le gris, il n'y a pas de relève. Par conséquent, la femelle doit être nourrie au nid.
Le gris aime se nourrir au sol, tout comme la perruche et le Cacatoès. L'Ara et l'Amazone préfèrent en revanche se nourrir en hauteur. Tenir compte de leurs particularités dans ce domaine est donc important. Si un oiseau aime manger à terre, il faut le servir sur le sol. Le gris gratte le sol notamment pour rechercher de la nourriture. Il est aussi possible de modifier régulièrement l'emplacement de la nourriture pour rendre son environnement enrichissant.
Il faut se renseigner sur le type d'alimentation et le mode d'alimentation de l'espèce que l'on accueille. Le soleil est également essentiel pour la bonne santé de l'animal. Un quart d'heure d'exposition quotidienne suffit à fixer la vitamine D3 et le calcium.
Par définition, toutes les cages sont trop petites, car les psittacidés ont besoin d'explorer. Il est possible avec une éducation adaptée de se passer complètement de cage en captivité. Il suffit d'apprendre à l'oiseau à vivre dans son environnement. Rien ne justifie l'enfermement en présence du maître.
Il faut proposer le plus de défis possibles au psittacidé dans une journée.
Tailler ses plumes de vol est sans doute la pire des choses à faire. Il a besoin de ses ailes en permanence, pour être rassuré et ne pas se blesser. Les déchirures du bréchet sont d'ailleurs fréquentes chez ceux dont les plumes ont été coupées.
Source : angelk
Chaque espèce réagit différemment à la vue d'un prédateur. Une perruche sera plus réactive qu'un Ara à la vue d'un chat par exemple.
Les gris sont plus difficiles à socialiser. La majorité des perroquets sont monogames et unis à vie. Ce n'est pas le cas des Eclectus en dehors des périodes de reproduction. Au contraire, un Cacatoès corrodera son maitre toute l'année pour entretenir les liens.
Certaines espèces se relaient au nid, d'autres pas. La femelle Cacatoès attendra donc que l'humain mette les mains sur ses oeufs pour quitter le nid et aller se nourrir. Chez le gris, il n'y a pas de relève. Par conséquent, la femelle doit être nourrie au nid.
Le gris aime se nourrir au sol, tout comme la perruche et le Cacatoès. L'Ara et l'Amazone préfèrent en revanche se nourrir en hauteur. Tenir compte de leurs particularités dans ce domaine est donc important. Si un oiseau aime manger à terre, il faut le servir sur le sol. Le gris gratte le sol notamment pour rechercher de la nourriture. Il est aussi possible de modifier régulièrement l'emplacement de la nourriture pour rendre son environnement enrichissant.
Il faut se renseigner sur le type d'alimentation et le mode d'alimentation de l'espèce que l'on accueille. Le soleil est également essentiel pour la bonne santé de l'animal. Un quart d'heure d'exposition quotidienne suffit à fixer la vitamine D3 et le calcium.
Par définition, toutes les cages sont trop petites, car les psittacidés ont besoin d'explorer. Il est possible avec une éducation adaptée de se passer complètement de cage en captivité. Il suffit d'apprendre à l'oiseau à vivre dans son environnement. Rien ne justifie l'enfermement en présence du maître.
Il faut proposer le plus de défis possibles au psittacidé dans une journée.
Tailler ses plumes de vol est sans doute la pire des choses à faire. Il a besoin de ses ailes en permanence, pour être rassuré et ne pas se blesser. Les déchirures du bréchet sont d'ailleurs fréquentes chez ceux dont les plumes ont été coupées.
Source : angelk