Une technique musclée d'apprentissage pour perroquets

[angelk]

Le fait de l'emmener avec n'implique pas de le forcer. Tu as commencé à mettre des trucs sympas pour l"inciter à entrer seul dans la cage de transport ? Tu fermes la portes quelques secondes ensuite lorsqu'il est dedans, comme si c'était un jeu puis tu ouvres à nouveau. Il sera ainsi plus rassuré le jour venu.

[beajimmy]

oui oui regarde j aie mis des photos sur le blog mais il regarde la cage mais n y va pas
elle est toujours dans son champ de vision mais voila .....

[angelk]

As-tu essayé de mettre à proximité des friandises ou des jeux qu'il aime pour lui montrer le chemin ?

[beajimmy]

oui oui helas lol

[angelk]

Ne désespère pas malgré tout, insiste, et il finira par s'y intéresser. Ma grise et mon Amazone à front bleu organisent régulièrement des expéditions pédestres en duo pour explorer la caisse de transport, sans que je n'aie rien à y mettre. Alors tu vois, tu peux encore espérer.

[Maud]

C'est malheureusement très dépendant des oiseaux
Mes rosalbins rentrent volontiers tout comme ma femelle amazone dans la cage de transport, mais pour les autres, il faut y aller avec des pincettes et prévoir large en terme de temps. Et puis ce n'est pas parce qu'ils acceptent un jour que le suivant sera du même acabit!
La seule chose qu'il faut absolument que tu fasses dans tout ça, c'est de respecter ton perroquet, à la fois pour lui mais aussi pour toi afin de ne pas perdre la confiance qu'il a en toi
La contrainte pour un animal de cette intelligence est très mal vécue donc il faut ruser sans cesse pour obtenir à peu près ce que l'on souhaite

[Christine]

Ruser, louvoyer, c'est tout à fait le mot juste

[émeline]

Pauvre perroquet!!! cette vidéo représente la méchanceté humaine!!! comme dit Enerik 0812 cette dame devrait acheter un robot....

[angelk]

Le problème vient je pense essentiellement du fait que certains n'acceptent pas l'idée de devoir attendre le " bon vouloir " d'un animal pour l'approcher. J'ai connu un éleveur d'oiseaux d'ornement qui avait purement et simplement coupé au sécateur les dents des furets que les gens lui avaient donnés, pour ne pas se faire mordre. Dans ce cas, la mutilation était définitive.