Le dog sitting, une autre façon d'envisager la garde de nos chiens en notre absence
Le 03 juin dernier s'est déroulée une journée placée sous le signe de la rencontre, pour les chiens et leur maître. Situé dans les Hauts de Seine, le Parc de Sceaux a été le théâtre d'un dog dating organisé par la société Gardicanin. Cette entreprise a développé un réseau d'un genre assez particulier en France et en Belgique. Cela vise à mettre en relation quelques 90 000 volontaires à la garde d'animaux et des propriétaires de chiens. Il ne s'agit pas du seul exemple français, car la demande de la part des particuliers est en pleine expansion. Les établissements proposant un service de qualité sont rares. Il semble que les mauvaises expériences passées des maîtres ayant placé leur animal dans un chenil le temps de leur absence les pousse également de plus en plus à rechercher des solutions alternatives. Les sociétés proposant ce type de service font généralement appel à des étudiants,qui gardent les animaux chez eux ou à leur propre domicile, comme le ferait une baby sitter traditionnelle. Comptez de l'ordre de 25 euros pour un week-end prolongé et 80 euros pour une dizaine de jours.
Ce phénomène, relativement récent à grande échelle, ne touche pas seulement les plus répandus des compagnons, puisqu'outre les chiens et chats, NAC, poules, moutons et équidés figurent parmi la clientèle qui fait appel à une dog sitter. Ce recours ne pas se pose nécessairement en opposition le mode de garde en chenil, car il offre aussi une autre option lorsque toutes les places sont prises, notamment en période de vacances. ainsi, lorsque famille et amis sont occupés, des solutions sont à la portée des maîtres, pour leur permettre de s'absenter. Certes, un étudiant n'aura pas l'expérience d'un professionnel, mais se montrera sans doute au moins aussi attentionné que vos proches.
Source : Le Parisien