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A l'heure actuelle, un maître demande à son chien d'être gentil, joueur et de temps en temps de garder la maison. Mais il n en a pas toujours été comme cela. On l'a utilisé à une époque comme source d'énergie à bon marché, au même titre que le cheval ou l'âne. Cela ne veut pas dire que le chien était brutalisé, mais qu'il devait gagner sa nourriture .

1ere partie :Les roues a chien

Les premiers à utiliser les chien comme source d'énergie étaient semble-t -il les gaulois. En effet, nos ancêtres les plaçaient dans un roue enflammée qui dévalait une colline traversée d'une rivière, où elle s'éteignait, et remontait une pente opposée. Ce rite cruel symbolisait le mécanisme de la foudre.
La plus ancienne mention des Saint-Bernard remonte à l'année 1708, date à laquelle un économe de l'hospice, le chanoine Camos, avait fait confectionner une roue dans laquelle on mettait un chien pour tourner la broche.

pauvre bête :-( c'était pas cool pour un chien ça :-(

Les chien des ateliersde coutellerie de Thiers avait moins a se plaindre car sa mission consistait a se coucher sur les jambes et les reins de leur maitres emouleur (personne aiguisant les outils tranchant)qui traviller a plat ventre dans l'humidité.Le chien servaient a la fois de contre poids et de couverture.le chien n'avait en aucun cas le droit de bouger sans l autorisation de son maitre

Et les shih tzu étaient placés dans les manches des moines tibétains pendant la prière, pour leur tenir chaud, car ce sont des chiens très calmes.

C'est incroyable ca! ils sont polyvalents alors.
Je m'en vais causer aux miens à deux doigts des moustaches. Recession oblige cet hiver ils vont pédaler pour l'électricité

2ème partie: le chien de trait

Des le XVIII siècle, en France, en Suisse, en Hollande et aussi en Belgique, on se sert des chiens en attelage. En 1920, à cause de la pénurie de chevaux, on compte 150000 chiens attelés. En France, en 1925, dans le département du Loiret, on compte 1322 chien attelés recensés dont 90 à Darnois, un petit village où vivent à cette époque 610 habitants, soit un chien attelé par foyer.

Les utilisateurs des chiens de trait étaient le plus souvent des commerçants et des fermiers se rendant au marché pour vendre leurs produits: colporteurs, représentants en épicerie, rémouleurs, marchands de balais, boulangers faisant la tournée du matin, facteurs, mais aussi les écoliers venant de villages éloignés, les vieillards, les infirmes et les plus démunis pour leur vie quotidienne. Les voitures à chien servaient aussi pour les tâches comme la récolte du bois mort pour l'hiver, l'herbe et la nourriture pour le bétail. Vers 1900, à Lille, sur 200 chiens de trait, 30 étaient utilisés par les bouchers, 60 transportaient du charbon. En Bretagne ils tiraient des paniers de poisson et de coquillages.

Les chiens utilisés pour ce travail étaient de solides corniauds de forte corpulence. Ils pouvaient tirer seuls environ 80 kg à une vitesse de 8 km/h. En Belgique, des loi interdisaient de dépasser 150 kg pour un chien, 200 kg pour deux. On trouvait parfois des attelages de trois, quatre, voire cinq canidés. L'Italie et l'Angleterre avaient interdit ce type d'attelage. L'arrivée de l'automobile et du cyclomoteur commença a provoquer des accidents, comme le décès de la factrice de Saint Cyr en Val (dans le Loiret) qui fut heurtée par un chauffard. Ces divers dangers firent peu à peu disparaître les voitures a àchien.

trés interessant tout ça boubou, merci